Hervé Mange est amoureux de ce territoire. Il en parle comme on parlerait d’un ami fidèle : avec émotion, engagement, et une conscience écologique aiguë.


Vasques, digues, tourbières, roselières… Ce “pays de l’eau” est un refuge pour la biodiversité. Mais il est fragile. La gestion humaine est indispensable pour éviter que ces miroirs ne s’effacent.